J’ai commencé ma carrière en tant que consultante en Conduite du Changement : j’accompagnais et conseillais les entreprises et leurs collaborateurs dans les changements qu’ils rencontraient.
J’ai croisé des personnes désemparées par les changements décidés par leur hiérarchie et je n’avais ni le temps, ni les moyens de les aider pleinement. J’étais très frustrée de ce constat et j’ai décidé de me former au coaching afin d’améliorer mon impact d’accompagnante.
En parallèle de ce parcours professionnel, il y a mon évolution personnelle.
Comme beaucoup, j’ai connu des rejets, des humiliations, des injustices et des abandons, ce qui a provoqué chez moi des automatismes de protection. Le problème de ces automatismes, c’est qu’ils m’empêchaient de me sentir totalement moi et je rentrais parfois en collision avec moi-même. J’avais des réactions émotionnelles disproportionnées comme du stress, des pleurs, des craintes, et des colères fortes qui m’empêchaient d’avancer comme je le souhaitais, qui m’empêchaient d’avoir des relations simples ou de renvoyer une image authentique de moi. C’est pour ces raisons que j’ai commencé à me faire accompagner par une psychothérapeute, puis par un coach comportementaliste. J’ai beaucoup appris sur moi, mon fonctionnement et j’ai commencé à ne plus dépendre des autres, à faire des choix uniquement pour moi, à prendre en compte mon corps, ses messages et ses besoins pour y répondre pleinement.
J’avais emmagasiné tellement d’informations qui me paraissaient essentielles dans la vie que j’ai ressenti le besoin fondamental de partager ces connaissances.
Portant beaucoup d’importance aux objectifs de vie et à la mise en action, j’ai rapidement compris que le coaching était une pratique qui me permettrait de relier ce besoin de partage et mon dynamisme. J’ai donc suivi une formation certifiante en coaching et peux aujourd’hui accompagner les personnes qui veulent, comme moi, vivre davantage par elles-mêmes et pour elles-mêmes.